Un consultant exerce un métier où la protection contre certains aléas est plus que conseillée, notamment en matière de responsabilité civile ou de perte de revenus.
Les assurances proposent de ce fait des contrats ayant pour objectif de couvrir les conséquences de la survenance de ces sinistres ; l’étendue de la protection étant plus ou moins vaste selon les besoins du consultant.
L’assurance « responsabilité civile professionnelle » et la protection juridique
L’activité de consultant consiste à fournir des prestations intellectuelles à une clientèle. A ce titre, un consultant s’expose à plusieurs risques lorsqu’il exerce son métier.
Il peut, par exemple, avoir :
Fait une erreur de conseil auprès de l’un de ses clients
Pris du retard sur une prestation comportant un engagement
(date de livraison)
Divulgué involontairement certaines informations confidentielles
Cassé involontairement son matériel informatique
(ou se l’être fait voler)
Perdu ou détruit les données de l’un de ses clients
Un consultant exerce un métier où la protection contre certains aléas est plus que conseillée, notamment en matière de responsabilité civile ou de perte de revenus.
Les assurances proposent de ce fait des contrats ayant pour objectif de couvrir les conséquences de la survenance de ces sinistres ; l’étendue de la protection étant plus ou moins vaste selon les besoins du consultant.
L’assurance « responsabilité civile professionnelle » et la protection juridique
L’activité de consultant consiste à fournir des prestations intellectuelles à une clientèle. A ce titre, un consultant s’expose à plusieurs risques lorsqu’il exerce son métier.
Il peut, par exemple, avoir :
Fait une erreur de conseil auprès de l’un de ses clients
Divulgué involontairement certaines informations confidentielles
Pris du retard sur une prestation comportant un engagement
(date de livraison)
Cassé involontairement son matériel informatique
(ou se l’être fait voler)
Perdu ou détruit les données de l’un de ses clients
L’absence de couverture à ce niveau peut entraîner des conséquences financières importantes, l’obligeant à réparer lui-même les dommages causés à son client : des dommages et intérêts susceptibles de mettre en péril son cabinet.
La solution pour limiter l’impact de ces sinistres consiste à souscrire un contrat d’assurance de responsabilité civile professionnelle (couramment appelée « RC PRO ». L’assureur prendra alors en charge l’indemnisation de la victime. Le consultant s’acquittera éventuellement d’une franchise à son égard.
Par ailleurs, les assureurs proposent, en général, une protection juridique en supplément de la responsabilité civile. Cette option prévoit un accompagnement par des experts en cas de procès (appui technique et résolution du litige) ainsi qu’un remboursement des frais de justice (honoraires des avocats et experts).
Les assurances « perte de revenus » et « homme-clé »
Un consultant s’expose également à un risque de perte de revenus en cas de maladie, d’invalidité ou de décès. Les assureurs proposent différentes formules permettant de couvrir ces risques en apportant un soutien financier à l’entreprise ou à l’entrepreneur directement.
Le contrat peut prévoir le versement :
D’indemnités compensant la perte de revenus
De fonds finançant la mise en place de solutions de remplacement
Ou d’un capital prédéfini en cas de disparition ou d’absence prolongée de l’assuré
Astuce : la plupart des cotisations versées sont déductibles des résultats de l’entreprise.
Les assurances « santé » et « retraite »
Le consultant peut se couvrir contre la survenance de certains risques personnels grâce à l’exercice de son activité professionnelle. Dans ce cas, son entreprise va supporter le poids des cotisations tandis qu’il bénéficiera personnellement des prestations. On parle de prévoyance.
Les domaines concernés sont essentiellement :
- La santé : remboursement de soins et prise en charge de dépenses non-remboursées par la Sécurité sociale ;
- La retraite : versement de revenus complémentaires à la retraite sous la forme d’une rente.
Les contrats « santé » et « retraite complémentaire » doivent respecter les conditions fixées par la loi Madelin. Si c’est effectivement le cas, les cotisations versées seront déductibles du résultat imposable de l’entreprise.
Aux consultants qui s’installent dans le domaine financier et/ou RH, le Réseau Difineo et Difineo RH vous conseille et vous accompagne sur tous ces sujets liés à la création de votre activité !
L’absence de couverture à ce niveau peut entraîner des conséquences financières importantes, l’obligeant à réparer lui-même les dommages causés à son client : des dommages et intérêts susceptibles de mettre en péril son cabinet.
La solution pour limiter l’impact de ces sinistres consiste à souscrire un contrat d’assurance de responsabilité civile professionnelle (couramment appelée « RC PRO ». L’assureur prendra alors en charge l’indemnisation de la victime. Le consultant s’acquittera éventuellement d’une franchise à son égard.
Par ailleurs, les assureurs proposent, en général, une protection juridique en supplément de la responsabilité civile. Cette option prévoit un accompagnement par des experts en cas de procès (appui technique et résolution du litige) ainsi qu’un remboursement des frais de justice (honoraires des avocats et experts).
Les assurances « perte de revenus » et « homme-clé »
Un consultant s’expose également à un risque de perte de revenus en cas de maladie, d’invalidité ou de décès. Les assureurs proposent différentes formules permettant de couvrir ces risques en apportant un soutien financier à l’entreprise ou à l’entrepreneur directement.
Le contrat peut prévoir le versement :
D’indemnités compensant la perte de revenus
De fonds finançant la mise en place de solutions de remplacement
Ou d’un capital prédéfini en cas de disparition ou d’absence prolongée de l’assuré
Astuce : la plupart des cotisations versées sont déductibles des résultats de l’entreprise.
Les assurances « santé » et « retraite »
Le consultant peut se couvrir contre la survenance de certains risques personnels grâce à l’exercice de son activité professionnelle. Dans ce cas, son entreprise va supporter le poids des cotisations tandis qu’il bénéficiera personnellement des prestations. On parle de prévoyance.
Les domaines concernés sont essentiellement :
- La santé : remboursement de soins et prise en charge de dépenses non-remboursées par la Sécurité sociale ;
- La retraite : versement de revenus complémentaires à la retraite sous la forme d’une rente.
Les contrats « santé » et « retraite complémentaire » doivent respecter les conditions fixées par la loi Madelin. Si c’est effectivement le cas, les cotisations versées seront déductibles du résultat imposable de l’entreprise.
Aux consultants qui s’installent dans le domaine financier et/ou RH, le Réseau Difineo et Difineo RH vous conseille et vous accompagne sur tous ces sujets liés à la création de votre activité !